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SxSakura-Fic

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Création : 03/08/2011 à 16:34 Mise à jour : 03/07/2013 à 22:24

SxSakura-Fic

I wanted you to be there when I fall, I wanted you to see me through it all...

I wanted you to be there when I fall, I wanted you to see me through it all...
↓
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Titre: Help me.

Prologue:

Il y a douze ans.

Shizune: Sakura? Ta maman a dit que les boissons étaient dans la cave, mais je ne trouve rien. Tu veux bien descendre m'aider?

Maman a dit qu'elle avait prévenu Shizune à propos de la cave. Sakura en était sure. Elle ferme les yeux en se concentrant. Avant que maman et papa ne partent pour la fête elle jouait dans sa chambre, sa mère l'avait appelée et Sakura est venue en courant vers elle en lui sautant dessus pour lui faire un câlin.

Sakura: *murmure* Est-ce que tu as dis a Shizune a propos de la cave?
Mère de Sakura: Certainement, pas de cave pour Miss Sakura. Cette porte restera fermée.

Papa s'est approché de nous, et maman a dit qu'on devrait vraiment penser à déménager.

Père de Sakura: Ne fais pas de betises Sakura. Sois gentille.

Et puis ils étaient partis. 

Shizune: Sakura ! Je sais que tu peux m'entendre.
Sakura: Je ne peux pas descendre à la cave. Je ne suis pas autorisée.
Shizune: Eh bien, je m'occupe de toi et je te dis que tu l'es. Tu es une grande fille.

Sakura descendait doucement, sa gorge se serrait et tout avait l'air flou, comme si elle allait pleurer.

Shizune: Sakura tu as cinq secondes pour descendre ou alors je te tire ici et je t'enferme à clef.

Sakura a descendu les escaliers tellement vite qu'elle a glissé. Elle était par terre, sa cheville lui faisait mal et les larmes brulaient ses yeux. Elle avait peur de la cave à cause des odeurs, des ombres et des bruits. Et Mme. Hobb. Il y en avait d'autres avant Mme. Hobb, comme Mme. Miller qui jouait cache-cache avec elle, et l'appelait Mary. Et Mr. Drake qui posait des questions bizarres, comme: est-ce que quelqu'un avait vécu sur la lune jusqu'à maintenant, et la plupart du temps Sakura ne savait que répondre mais il continuait de sourire et de lui dire qu'elle était une fille gentille. Elle aimait bien descendre à la cave pour parler avec ces gens, tout ce qu'elle avait à faire c'était de ne pas regarder derrière le four où il y avait un homme qui pendait du plafond, son visage tout violet et gonflé. Il ne disait rien mais le voir faisait toujours mal au ventre à Sakura.

Shizune: Sakura, tu viens?

Maman dirait: "Pense aux bonnes choses, pas aux mauvaises." Alors que Sakura s'approchait des derniers pas elle se souvenait de Mme. Miller et Mr. Drake et elle ne pensait pas à Mme. Hobb du tout... ou alors pas beaucoup. Elle s'approchait de l'obscurité. Il y avait juste quelques veilleuses que sa mère avait mises un peu partout quand Sakura lui avait dit qu'elle ne voulait pas descendre à la cave, alors sa mere avait cru qu'elle avait peur du noir. Mais pour elle l'obscurité voulait dire que Mme. Hobb pouvait se glisser jusqu'à elle. Sakura marchait aussi vite qu'elle le pouvait. Quand quelque chose avait bougé, elle avait oublié qu'elle ne devait pas regarder mais c'était juste l'homme qui pendait, et tout ce qu'elle pouvait voir c'était sa main qui dépassait de derrière le four. Elle partit en courant vers la cave froide pour chercher les boissons. J'entends des pas au-dessus. Maman? Déjà de retour?

Shizune: Sakura, tu n'as pas peur du noir, non? *rire* Tu n'es encore qu'une petite gamine après tout.

Shizune ne savait rien, elle était juste stupide, et méchante. Sakura pouvait chercher de la boisson et s'enfuir en courant, et attendre que maman revienne pour lui dire, Shizune ne sera plus sa babysitter. Elle essayait de se souvenir où étaient les boissons. 

Shizune: Sakura ! Sakura ! 

C'était la voix de Shizune mais elle était si éloignée. Les bruits de pas au-dessus d'elle continuaient. 

Shizune: Sakura où es-tu?

"Sakura, Sakura, où es-tu?" a imitié une voix derrière elle, comme celle de Shizune, mais pas exactement. Sakura se retourne lentement. Derrière elle se trouvait une vieille femme, ses yeux et ses dents brillaient dans le noir. Mme. Hobb. Sakura voulait fermer ses yeux mais elle n'a pas osé sachant que cela l'énervait, empirant son cas. La peau de Mme. Hobb s'est ondulée et tordue, puis elle est devenue noire et brillante. Ses cheveux brulèrent. Et après il ne restait rien, à part un squelette pointillé avec des débris de chair noircie. Sa mâchoire s'est ouverte et ses dents brillaient toujours.

Mme. Hobb: Bienvenue une nouvelle fois, Sakura.
 
↑
- - - - - - - - - - - - - - - ×`- - - - - - - - - - - - - - -




R.É.P.É.R.T.O.I.R.E.S
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#Posté le mercredi 03 août 2011 17:37

Modifié le mercredi 03 juillet 2013 22:16

Questions.

Si vous avez des questions, n'hésitez pas à les poser ici, je réponds à tout quelque soit le sujet.

De Bloody-sakura: "Quelle est ta chanson préférée?"
Pour le moment c'est The way - Ariana Grande.

De Bloody-sakura: "Tu m'aimes?"
Je t'aime tout plein.

De Bloody-sakura: "Sakura sait qu'elle peut voir des esprits ou pas encore?"
Elle ne le sait pas encore.

De And-thefollowingday: "Sasuke ou Naruto?"
Facile à deviner, rien qu'en regardant mon blog.

De Diamond-pub-fic: "Tu écoutes du Linkin Park? Et pourquoi une fiction sur Naruto? Non, plutôt pourquoi avoir choisi ce manga?"
J'écoute du Linkin Park. C'est une fiction sur Naruto parce que j'adore ce manga et que c'est le seul que je regarde.

De Fik-de-naruto: "Tu aimes quels genre de musique?"
J'aime tout les genres de musique. Enfin... presque !

De Poweralex28: "Je me souviens d'un film qui parlait justement d'un garçon qui pouvait voir les morts. Donc ceci est ma question : Sa a un rapport avec ce film?"
Non, de plus je n'aime pas spécialement les films d'horreur, donc je ne sais pas de quel film tu parles.
 

Questions.     
         Questions.         Questions.        Questions. 
                    Sasuke Uchiha                                        Sakura Haruno                                   Naruto Uzumaki
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#Posté le jeudi 04 août 2011 18:50

Modifié le mercredi 03 juillet 2013 22:03

Prévenu(e)s.

Laissez 3 commentaires pour être prévenu(e) (en disant vouloir l'être) je ne veux pas prévenir pour rien, alors laissez au moins 2 commentaires par chapitre. Ça me prend beaucoup de temps de vous prévenir, alors pour ceux qui ne laisseront aucun commentaire au bout d'un certain délai, je les retire de la liste des prévenus. Merci de bien vouloir me comprendre.


Dream-sasusaku
Sakura2709
Mocheter85
xx-new-boubou-mangas-xx
Pastei
Cupid-Lullaby
Rorodu44170Prévenu(e)s.
Naturalme13
x-xsakuraxsasuke-x
Keit-saku1
C-elina97
xxsakura-du-21xx999
Narutooxloove
Mikabaskerville
Sasuxsaku-fanficxschool
Lafilledu80700
Sasu-saku-amourefic
Samanthanaruto
Sakura-sasukefanfic
And-thefollowingday
Sasuke-to-sakura
Sasuke-kun-love-sakura
Kawai-Doriie
Momo-noire-satane
My-life-lover-sakura
Bloody-sakura
xx-sakuraxsasuke-xx
Narutoxfaanfic
o-sasu-x-saku-o
Sakura-et-lui
Fairyfictail
Fictionsakura
Fic-nana-chan27
Sakurapein
Rinkagamine-a-kagamiko
Pseudomania
Fik-de-naruto
Poweralex28
Inou-chan1800
x-naru-x-saku-x-love-x
Live-Sachiko
MissClairette229
Coco200493
Kilari-sakura-78



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#Posté le jeudi 04 août 2011 14:49

Modifié le mercredi 03 juillet 2013 22:24

Season one: Chapter one.

J'étais assise en tailleur sur mon lit, d'une main je tenais mon pendentif, et de l'autre mes draps. Je faisais de mon mieux pour me souvenir de mon rêve qui s'envolait. Quelque chose à propos d'une cave... et d'une petite fille... moi? Je ne me souvins pas d'avoir eu une cave, on vivait toujours dans des appartements. Une petite fille dans une cave, quelque chose d'effrayant... les caves ne faisaient-elles pas toujours peur? Je tremblais rien qu'en pensant aux caves, sombres, et vides. Mais celle-là n'était pas vide. Il y avait... je ne m'en souvenais plus. Un homme derrière le four...?

Annette: Sakura! Je suis la femme de ménage je ne suis pas ta nounou. Si tu es en retard à nouveau je vais appeler ton père.

Même si Annette arrivait à contacter mon père à Berlin, il ferait semblant d'écouter, les yeux rivés sur son blackberry, son attention concentrée sur quelque chose de plus important, comme le temps qu'il faisait. Il murmurerait un vague “oui, j'arrangerais ça quand je serais de retour” et oublierait tout quand il raccrocherait. Une demi-heure plus tard j'étais dans ma salle de bain, je me prépare pour les cours, je me regarde dans le miroir. J'ai l'air d'avoir douze ans. Et je venais d'avoir quinze ans et les serveurs me donnaient toujours le menu enfant dans les restaurants. Je ne leur en voulais pas. J'étais assez petite de taille et j'avais des formes que lorsque je portais des jeans serrés et des hauts encore plus serrés. Tante Tsunade me dit toujours que je serais un peu plus grande de taille quand j'aurais mes règles. Toutes mes amies ont eu leurs règles à douze et même onze ans. J'essayais de ne pas y penser, mais bien sûr j'y pensais. Je me dis que quelque chose cloche chez moi. Je me sentais bizarre quand mes amies parlaient de leurs règles, et je priais qu'elles ne découvrent pas que je n'ai pas encore eu les miennes. Tante Tsunade me disait que j'allais bien et vu qu'elle est médecin je me dis qu'elle doit s'y connaitre. Mais ça me dérangeait quand même. Beaucoup.

Annette: Sakura !
Sakura: Je suis dans les toilettes !

Je n'aurais jamais dû me couper les cheveux, mais j'en avais marre de les avoir longs. J'avais donc decidé de les couper jusqu'à mes épaules. Sur le modèle j'avais adoré. Mais sur moi? Pas tellement. Je regarde au coin de l'oeil le tube de coloration, Karin m'avait promis que me faire des mèches blondes ça irait parfaitement avec mes cheveux roses. Je me dis que j'aurais l'air horrible mais peut-être que j'aurais l'air plus âgée...

Annette: Sakura, je compose le numéro là !

J'ai pris le tube de coloration, et je l'ai mis dans mon sac. J'ai pris les escaliers comme d'habitude. L'immeuble pouvait changer mais ma routine ne changeait jamais. Avec ma mere on descendait toujours les escaliers en courant, jusqu'au CE1 et puis... il n'y avait plus personne pour descendre les escaliers en courant avec. Je touche le collier qui est sous mon t-shirt. Après la mort de ma mere on a beaucoup déménagé. Mon père voyageait toujours pour le travail. Donc, je me retrouve souvent seule. Ce matin, les escaliers ce n'était pas une idée brillante. Mon ventre me faisait mal, a cause du stress, j'avais mon examen d'espagnol aujourd'hui. J'ai déjà foiré mon dernier examen d'espagnol car au lieu de reviser je suis partie passer la nuit chez Tenten, et j'ai à peine eu la moyenne. L'espagnol ce n'était pas vraiment ma matière préférée. Mais si je ne passe pas, mon père allait surement le remarquer et se demander si l'école d'art était vraiment un bon choix. Sasori m'attendait dans la voiture, ça fait déjà deux ans qu'il me conduit au lycée. La lumière du matin m'eblouissait les yeux, mais je ne dis rien.

Sasori: J'ai vu un film hier soir. Un genre de film que tu aimes bien.
Sakura: Un thriller?
Sasori: Non. Un action-aventure. Tu sais, beaucoup de pistolets, des trucs qui explosent.

On a continué de parler de films pour un moment. Mon sujet favoris. Quand Sasori devait prendre un appel, je regardais dehors à travers la fenêtre. Un garçon qui avait de longs cheveux tenait une boîte de déjeuner démodée, avec un superhero dessus. J'étais trop concentrée, essayant de découvrir quel superhero c'était que je n'avais pas remarqué que le garçon venait de passé entre notre voiture et celle d'en face de nous en un bond rapide.

Sakura: SASORI! Fais atten...
Sasori: Quoi? Sakura? Qu'est-ce qui ne va pas?

Je regarde devant et je vois... rien.

Sakura: J'ai cru avoir vu quelqu'un sauter devant nous. Je suis désolée.
Sasori: Ça m'arrive des fois, surtout si je suis en train de tourner ma tete, je crois voir quelqu'un alors qu'il n'y a personne.

Mon ventre me faisait mal à nouveau. Entre les rêves dont je ne me souvenais pas et le garçon que je n'ai pas pu voir, j'étais terrifiée. Me concentrer sur mon examen d'espagnol c'était impossible tant que je n'avais pas sorti une de ces deux questions de ma tete. Alors j'ai appelé tante Tsunade. Quand je suis tombée sur la messagerie vocale, je me suis dit que j'allais rappeler pendant le déjeuner. J'étais à mi-chemin au casier de Karin quand ma tante m'a réappeler.

Sakura: Est-ce qu'on a déjà vécu dans une maison où il y avait une cave?
Tsunade: Bonjour à toi aussi.
Sakura: Désolée. J'ai eu ce rêve et ça me perturbe.

Je lui raconte alors un peu de ce dont je me souviens.

Tsunade: Ça doit être l'ancienne maison qui était à Allentown. Tu m'étonnes que tu ne t'en souviennes pas. Tu étais une gamine.
Sakura: Merci, ça me dé...
Tsunade: Dérangeait. On dirait bien. Ça devait être un de ces cauchemars.
Sakura: Quelque chose à propos d'un monstre vivant dans la cave, vraiment cliché. J'ai honte.
Tsunade: Monstre? Quoi?
Sakura: Mon imagination est surmenée aujourd'hui. J'ai fais flipper Sasori, croyant que je voyait un garçon courir devant la voiture.
Tsunade: Quoi?
Sakura: Il n'y avait pas de garçon. Du moins pas en dehors de ma tête.

Après avoir vu Karin a son casier, je lui fais un signe de main.

Tsunade: Je passe te prendre après les cours. On doit parler.

Elle a raccroché avant même que je puisse en placer une. J'ai secoué ma tete puis je suis partie en courant pour rattraper Karin. Je continue de penser à ce garçon qui était dans la rue. Il y avait beaucoup d'explications logiques. J'ai trop fixé sa boîte de déjeuner alors j'ai cru qu'il courait dans un autre sens. C'est vraiment logique, je ne comprends pas pourquoi ça me gênait encore.

Tayuya: Vas-y ! Il est juste là, va lui demander si il va aller à la fête. Ce n'est pas si dur que ça, si?

Je cherchais mon déjeuner dans mon casier.

Temari: Laisse la tranquille.

Elle a passé sa main au-dessus de ma tête et a pris ma boîte de déjeuner qui était sur l'etagere du haut, avant de me la passer.

Temari: Je ne sais pas comment tu as pu rater ca Sakura, c'est jaune, limite néon.
Karin: Elle a besoin d'une échelle pour voir aussi haut.

Je l'ai gentiment poussée avec ma hanche, et elle a éclaté de rire.

Temari: Aller les filles, sinon on ne trouvera plus de tables libres!

Alors qu'on passait devant le casier de Neji, Tayuya n'arrivait plus a se retenir.

Tayuya: *chuchote* Demande lui Sakura !

Neji a regardé dans notre direction puis il a rapidement regardé ailleurs. Mes joues s'empourprèrent.

Karin: C'est un connard de toute façon, ignore le.
Sakura: Non ce n'est pas un connard, je ne lui plais pas c'est tout.
Tayuya: Je vais lui demander pour toi.
Sakura: Non, s'il te plaît.
Tayuya: C'est fou ce que tu peux être gamine des fois. Tu as quinze ans Sakura, tu dois prendre ta vie en main.
Karin: Comme télèphoner un gars jusqu'à ce que sa mère vienne pour te dire de le laisser tranquille?
Tayuya: C'était la mère de Deidara, lui il n'avait rien dit.
Karin: Mais oui. Continue de te le repeter tu vas finir par y croire.

Normalement je m'en serrais mêler pour les arrêter mais j'en voulais un peu à Tayuya de m'avoir embarrassé comme ça. Karin, Temari et moi on est plutôt le genre de filles qui parlent des gars mais on n'était pas vraiment intéressée. Tayuya l'était, elle a eu tellement de petits copains qu'elle ne se souvient plus de tous leurs prénoms. Alors, quand on a commencé à trainer avec elle c'était devenu important d'avoir un gars qui nous plaît. Je m'inquiétais déjà d'avoir l'air immature, et ça n'a pas aidé quand elle a éclaté de rire après que j'ai dit que je n'ai jamais vraiment eu un copain. Alors j'ai dit le premier prénom qui m'est passé par la tete, Neji. Je pensais que je pouvais juste dire le nom d'un gars qui me plaisait et ça serait suffisant. Pas vraiment. Tayuya lui a dit qu'il me plaisait. J'étais horrifiée, mais une petite partie de moi espérait qu'il dise que je lui plaisais aussi. Pas une chance. Avant on parlait quelques fois en espagnol, maintenant il s'asseyait deux rangs derrière moi, comme si j'avais choppé un virus contagieux. On est arrivé à la cafeteria quand quelqu'un m'a appelé. Je me suis retournée pour voir Gaara courir vers moi.

Sakura: Salut.
Gaara: Salut toute seule, t'as oublié que Petrie avait replanifié le club du film pour midi? On va parler d'un film d'art. *ironique* Je sais que tu aimes les films d'art.

Je fais une tete de déterrée.

Gaara: D'accord... je dirais à Petrie que tu n'es pas intéressée, et que tu ne veux pas diriger le court-métrage.
Sakura: On décide ça aujourd'hui?

Gaara a commencé à partir en disant “Peut-être. Peut-être pas.”

Sakura: À tout à l'heure les filles !

La réunion du club se faisait derrière la scène comme toujours, on parlait du sujet tout en mangeant notre déjeuner. La nourriture n'est pas autorisée dans la scène. On a parlé du court-métrage, et j'étais dans la liste pour les réalisateurs. Après, pendant que tout le monde regardait des scènes sur des films d'art, je suis sortie et puis je suis partie vers mon casier. Mon ventre me faisait vraiment mal, me rappelant que j'étais tellement excitée à propos du court-métrage que j'ai oublié de manger. Et j'ai oublié ma boîte de déjeuner derrière la scène. Dix minutes avant la reprise des classes. La réunion du club était finie. Et la dernière personne qui était sortie a éteint les lumières, et je n'avais pas une idée comment les allumer, surtout que pour trouver un interrupteur faudrait pouvoir le voir. J'avançais je ne sais où, j'avais peur du noir, j'avais de mauvaises expériences avec, étant petite mes amis imaginaires se cachaient dans le noir pour me faire peur. Je sais que ça sonne bizarre. Les autres enfants rêvaient d'amis pour jouer et moi j'imaginais des monstres. L'odeur des anciens costumes et du maquillage me disaient que j'etais dans le dressing. Après avoir avancé j'ai trébuché en criant. J'espérai vraiment que ses murs étaient insonorisés. Je tate le sol avec ma main jusqu'à ce que j'ai trouvé l'ouverture, j'ai séparé rideaux. Devant, j'ai pu distinguer la table de déjeuner. Quelque chose de jaune posé dessus. Ma boîte? J'ai entendu quelque chose cogner. J'essayais de calmer ma chair de poule. Un autre bruit. Alors on avait des rats dans notre couloir, n'est-ce pas? Très cliché. Je devrais éteindre mon imagination. Je me suis jetée devant, j'ai saisi ma boîte et suis partie en courant.





Season one: Chapter one.
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#Posté le mercredi 03 août 2011 19:09

Modifié le mercredi 03 juillet 2013 22:21

Season one: Chapter two.

....: Sakura attend !

J'avais déposé mon déjeuner non mangé dans mon casier, quand Gaara m'appelait je m'éloignais déjà. Je me retourne donc pour le voir galérer pour m'atteindre, la cloche venait de sonner et les couloirs étaient bondés.

Gaara: Tu es partie du club de film avant que je puisse te saisir. Je voulais te demander si tu venais à la fête.
Sakura: Demain? Um, oui.
Gaara: *grand sourire* Génial, on se voit là bas.

Quand il est parti je suis restée quelques minutes en train de fixer un point invisible. Est-ce que Gaara venait de me traquer juste pour me demander si je venais à la fête? Ce n'était pas la même chose que me demander de l'accompagner à la fête, mais bon... Je devais vraiment repenser à ce que j'allais mettre. Quelqu'un venait de me rentrer dedans, faisant tomber mon sac en murmurant quelque chose à propos de se tenir au milieu du couloir. En me penchant pour prendre mon sac j'ai senti un flot entre mes jambes. Je me tins debout, figée, avant de prendre un pas hésitant. Oh mon Dieu. Est-ce que je viens de me pisser dessus? Je dois être malade... Mon ventre me fait mal depuis ce matin. Je devrais aller voir si je peux nettoyer tout ça, et si je ne peux pas je devrais prendre un taxi. Dans les toilettes, j'ai baissé mon pantalon avant de voir du rouge. Pour quelques minutes, je suis juste restée comme ça, assise sur les toilettes en souriant comme une idiote en espérant que la rumeur à propos des caméras dans les toilettes était fausse. J'ai pris du papier toilettes, l'est mis dans mon pantalon, et remonté mon jean. Puis je suis allée vers le distributeur de serviette hygiénique. J'ai cherché dans mon sac, je n'avais pas d'argent sur moi, super... Je regardais la machine. J'examinais la serrure rayée. Temari avait dit qu'elle pouvait ouvrir avec un ongle assez long. Mes ongles n'étaient pas longs, mais mes clefs feraient l'affaire. Après avoir tout arrangé, j'ai cherché dans mon sac pour trouver ma brosser à cheveux, mais au lieu de sortir la brosse j'ai sorti le tube de coloration. Alors, aujourd'hui je me suis retrouvée dans la liste des réalisateurs pour le court-métrage. Gaara m'a demandé si j'allais à la fête. Mes premières règles. Mon premier acte criminel. Pourquoi ne pas ajouté la première fois que je sèche un cours et la première fois que je teins les cheveux à ma liste? Me teindre les cheveux à l'aide du robinet de l'école ne sera pas simple, mais ça sera surement plus facile qu'a la maison avec Annette. Me teindre une dizaine de mèches blondes m'a pris vingt minutes. J'ai dû enlever mon haut pour éviter de le salir. Alors j'étais devant le robinet avec mon soutien-gorge et mon jean. Heureusement, personne n'est entré. J'ai fini de presser les pointes de mes cheveux avec du papier toilette. J'ai regardé dans le miroir pour voir le résultat. Et j'ai souri. Karin avait raison. Ça m'allait assez bien. Annette sera folle de rage. Mon père remarquera surement. Il pourrait même s'énerver. Mais maintenant j'étais presque sure que personne n'allait me tendre un menu enfant dans les restaurants. La porte a grincé. J'ai jeté le papier toilette dans la poubelle, pris mon haut et je me suis précipitée dans une cabine. J'ai à peine eu le temps de fermer la porte avant d'entendre que l'autre fille commençait à pleurer. J'ai jeté un regard dans la cabine d'à coter et j'ai vu que la fille avait une paire de Reebok. Est-ce que je devrais lui demander si elle allait bien? Ou est-ce que ça l'embarrasserait plus qu'autre chose? Elle a tiré la chasse et l'ombre qui était dans l'autre cabine bougea. La serrure de la cabine s'ouvrit. Lorsqu'elle a ouvert le robinet, ses pleurs sont devenu encore plus fort. Je n'entends plus l'eau couler, cependant j'entends le bruit du rouleau de papier toilette. Puis le bruit de la porte qui s'ouvre et se ferme à nouveau. Les pleurs continuaient. Un doigt gelé glissa le long de ma colonne vertébrale. Je me suis dit qu'elle a changé d'avis et a decidé de rester en attendant d'avoir tout sous contrôle. Mais les pleurs étaient près, dans la cabine juste à coté. Je serrais mes poings, c'était juste mon imagination. Les pleurs se sont arrêté. Après avoir mis mon haut, et je suis sortie des toilettes avant que ça ne recommence. Quand la porte s'est fermée derrière moi, tout était silencieux. Un couloir vide.

...: Toi !

Je me suis retournée pour voir un concierge qui venait vers moi.

Sakura: Les toilettes... J'utilisai les toilettes.

Il continuait de s'approcher. Je ne le reconnaissais pas. Il devait avoir l'âge de mon père, il portait l'uniforme concierge de notre école.

Sakura: Je vais en classe maintenant.

J'ai commencé à marcher.

Concierge : Toi ! Reviens ici. Je veux te parler.

Le seul son que j'entendais c'était celui de mes pas. Pourquoi je ne pouvais pas entendre les siens? J'ai commencé à marcher plus vite. Le concierge est apparu devant moi, une figure prenait forme dans ses vêtements. Je me suis mise à courir. L'homme emit un grognement. Je suis presque entrée en collision avec un élève, je me suis excusée. Puis, j'ai regardé au-dessus de mon épaule, le concierge n'était plus là. J'ai expiré et j'ai fermé les yeux. Quand je les ai ouverts, la chemise d'uniforme bleue était à quelques centimètres de mon visage, je levai les yeux et poussai un cri. Il ressemblait à un mannequin qui s'était trop approché d'un feu. Visage brûlé. Fondu. Un oeil bombé, exposé. L'autre ½il avait glissé près de la pommette, la peau luisante et difforme.

Concierge: Peut-être que tu feras attention à moi maintenant.

J'ai couru tête baissée dans le couloir, sur mon chemin une porte s'est ouverte.

...: Sakura?

J'ai continué de courir.

Concierge: Parle- moi ! Est-ce que tu sais combien de temps je suis coincé ici?

La voix se rapprochait, j'ai pris les escaliers pour aller en haut. En haut? Toutes les stupides héroïnes montent en haut ! Le gardien boitait. J'ai couru le long de la salle principale.

Concierge: Écoute moi, gamine égoïste. Je veux justes cinq minutes.

Je suis rentrée dans la plus proche salle de cours vide. Le gardien est rentré par la porte. J'ai dit par la porte? Il est passé à travers la porte. Cet horrible visage fondu était parti, et maintenant il était normal à nouveau.

Concierge: Est-ce que c'est mieux comme ça? Est-ce que tu peux arrêter de crier maintenant et m'écouter?

Je me suis élancée vers la fenêtre et j'ai commencé à chercher un moyen de l'ouvrir.

...: Sakura !

La porte s'est ouverte. C'était le vice principal Ryo avec mon professeur de mathématiques Jiraya, et un professeur de musique dont je n'arrêtai pas d'oublier le prénom.

Ryo: Sakura? Ma chérie, éloignes toi de cette fenêtre.
Sakura: J'essayai juste de...
Ryo: Sakura...

Confuse, je jette un regard à la fenêtre à nouveau. Jiraya s'est jeté sur moi et m'a plaquée au sol. J'ai ouvert les yeux pour voir le concierge se tenant sur moi. J'ai crié en essayant de me lever mais Jiraya et le professeur de musique m'ont tenu fermement au sol pendant que Ryo était au téléphone. Le concierge est passé a travers Jiraya.

Concierge: Est-ce que tu veux bien m'écouter maintenant? De toute façon tu ne peux pas t'enfuir.

J'essayai de donner des coups de pied au concierge, tentant de m'échapper des professeurs. Ils ne m'ont tenu que plus fort. J'ai vaguement entendu Ryo dire qu'ils auraient bientôt de l'aide. Le concierge s'est rapproché remettant le masque au viage fondu, il était si près que je ne voyais pas plus que son oeil qui pendait. J'ai mordu ma langue pour ne pas crier. Le sang remplissant ma bouche. Plus je me débattais. plus fermement ils me tenaient.

Sakura: *criant* Ne le voyez-vous pas? Il est juste ici. S'il vous plaît. Je vous en supplie, éloignez-le de moi ! Éloignez le !

Ils ne m'écoutaient pas. J'ai continué de me débattre, et d'argumenter mais ils ne me tenaient que plus fermement. Finalement deux hommes en uniforme sont venus en courant par la porte. Un d'entre eux a aidé les professeurs à me tenir pendant que l'autre a disparu de mon champ de vision. L'homme m'a serré le bras a l'aide de ses doigts. Et puis, une piqure d'aiguille. Je sentais mes veines se glacer et la sueur descendre tout au long de mon dos. La salle a commencé à se balancer. Le concierge a disparu, clignotant.

Concierge: Non ! Je dois lui parler. Vous ne comprenez donc pas? Elle peut m'entendre. Je veux juste...

Sa voix se fanait, pendant que les infirmiers m'abaissaient sur une civière.

Concierge : Ne la prenez pas j'ai besoin d'elle !

Je me suis assise sur le bord de mon lit d'hôpital et j'ai essayé de me persuader que je dormais encore. C'était la meilleure explication pour ce que j'entendais. Je pouvais aussi me dire que c'était délirant mais je préférais penser que je rêvais. Tante Tsunade s'est assise à cote de moi, tenant ma main. Mes yeux étaient fixes sur les infirmières qui passaient dans le couloir. Elle a suivi mon regard, et est partie fermer la porte. À travers un regard de larmes, je la regardais imaginant ma mere. Je me suis frotté les mains sur les couvertures, raides, capturant ma peau sèche. Tante Tsunade m'a donné de l'eau, et je passai mes mains autour du verre froid. L'eau avait un goût métallique, mais je l'ai avalé.

Sakura: Un foyer collectif.

Les murs semblent aspirer les mots de ma bouche, de les absorber, et de ne laisser que l'air mort. Elle a sorti un mouchoir de sa poche pour s'essuyer le nez.

Tsunade: Est-ce que tu sais combien de fois j'ai dû dire à un patient qu'il mourait? Et pourtant cela m'a l'air plus dur. C'est le seul moyen pour que tu puisses aller à l'université.
Sakura: Est-ce que c'est la faute à papa?

Elle m'a fixée et j'ai su qu'elle aurait bien voulu lui reprocher. Elle voulait m'élever après la mort de ma mère, m'épargner une vie avec femmes de ménage et appartements vides. Elle n'a jamais pardonné mon père pour ne pas avoir accepté. Comme quand elle ne l'a pas pardonné le soir de la mort de ma mère. Ça n'avait pas d'importance qu'ils avaient eu un accident, c'était lui qui conduisait donc elle le rendait responsable.

Tsunade: Non. C'est l'école, si tu ne passes pas deux semaines supervisés dans un foyer collectif sa ira dans ton dossier scolaire.
Sakura: Qu'est-ce qui ira dans mon dossier?
Tsunade: C'est la politique de tolérance zéro.
Sakura: Tolérance zéro? Tu veux dire violence? Mais je n'ai pas...
Tsunade: Je sais. Mais pour eux c'est simple. Tu as lutté avec un professeur. Tu as besoin d'aide.

Dans une maison. Pour enfants fous. Je me suis réveillée plusieurs fois cette nuit-là. La deuxième fois, mon père était à la porte me regardant. La troisième, il était assis à côté de mon lit. Voyant mes yeux ouverts, il me tapota maladroitement la main.

Père de Sakura: Tout va bien se passer.

Après ses paroles, je me suis endormie à nouveau. Le lendemain matin, mon père était toujours là. Ses yeux étaient rouges et gonfles. Il est resté debout toute la nuit revenant de Berlin. Je ne crois pas que papa a déjà eu envie d'avoir des enfants. Mais il ne me le dira jamais. Peu importe ce que tante Tsunade pense de lui, il fait de son mieux. Il a juste l'air de ne pas savoir quoi faire avec moi. Je suis comme un chiot laissé par quelqu'un qu'il aimait beaucoup. Et il essaye de bien faire même s'il n'aime pas vraiment les chiens.

Père de Sakura: Tu as changé tes cheveux.

Je me préparai mentalement à ce qui allait suivre. Après avoir hurlé à travers les salles de l'école et avoir teins mes cheveux dans la salle de bain des filles la première chose qu'on me dit après la partie courir-et-hurler-dans-les-salles "tu faisais quoi?” Se teindre les cheveux dans les toilettes de l'école ce n'est pas très normal. Pas pour les filles comme moi. Et mèches blondes? En séchant les cours? On aurait dit que je venais d'avoir une dépression nerveuse.

Père de Sakura: Est-ce que sa te plaît?

J'ai hoché la tete. Il fit une pause, puis laissa échapper un petit rire forcé.

Père de Sakura: Eh beh, ce n'est pas exactement ce que j'aurais choisi mais ça te va bien. Si sa te plaît c'est le principal. Je suppose que ta tante t'a dit à propos de ce foyer collectif. Elle en a trouvé un, elle dit que c'est petit, privé. Je ne peux pas dire que cette idée me réjouit, mais c'est juste pour quelques semaines.

Personne ne savait ce qui n'allait pas avec moi. On m'a passé des tests et j'ai répondu aux questions des médecins. J'avais compris qu'ils savaient ce qui n'allait pas, mais ils ne me disaient rien. Ce qui veut dire que c'était mauvais. Ce n'était pas la première fois que je voyais des gens qui n'étaient pas là. C'est de ça que voulait me parler tante Tsunade après les cours. Quand j'ai mentionné le rêve, elle s'est rappelée du fait que je parlais à propos des gens vivant dans notre cave. Mes parents disaient que c'était mes amis imaginaires. Puis ces amis m'ont tellement terrifiée qu'on a dû déménager. Même après ça, je voyais quelques fois des personnes. Alors ma mère m'a ramené ce pendentif de couleur rubis et elle m'a dit que sa me protégera. Papa disait que tout était psychologique. Je pensais que ça marchait. Mais maintenant, ça recommençait. Et cette fois, personne ne me disait que c'était juste mon imagination. Ils m'envoyaient dans une maison de fous. Ils pensent que je suis folle. Je ne le suis pas. J'ai quinze ans j'ai enfin mes règles, et ça devait compter pour quelque chose. Ça ne peut pas être une coïncidence que j'ai commencé à voir des choses le même jour. Si j'étais folle, je ferais plus qu'entendre et voir des personnes qui n'étaient pas présentes. Je serais en train d'agir de façon folle, mais je ne l'étais pas. Ou est-ce que je l'étais? Le plus j'y pensais le plus je n'étais pas sure. Je me sentais normale. Je ne me souviens pas avoir fait quelque chose de bizarre. Apars me teindre les cheveux dans les toilettes de mon école. Mais sa ne comptait pas. J'ai eu peur a cause de ce gars brûlé et j'ai essayé de m'échapper de lui, je ne voulais pas faire du mal à qui que ce soit. Avant ça, j'allais bien. Mes amies pensaient que j'allais bien. Petrie pensait que j'allais bien il m'a même mise dans la liste des réalisateurs. Gaara pensait que j'allais bien... évidemment. Si j'étais folle il ne serait pas heureux que j'aille à la fête. Il avait l'air heureux, non? Quand je repensais à ce qui s'était passé, c'était flou. Comme un souvenir lointain ou même un rêve. Et si... rien de tout ça n'était arrivé? Je voulais être la réalisatrice du court-métrage. Je voulais que Gaara s'intéresse à moi. Peut-être que j'ai tout imaginé. J'ai dû halluciner, comme quand j'avais vu le garçon dans la rue, la fille qui pleurait, et le concierge brûlé. Mais si j'étais folle, je devais le savoir non? Pourtant c'est ça être folle, n'est-ce pas? Tu penses que tu vas bien, mais tout le monde pensait le contraire. Peut-être que je suis folle. Mon père et tante Tsunade m'ont conduit a la maison Lyle le dimanche après-midi. Ils m'ont donné des médicaments avant qu'on parte de l'hôpital, et ça m'a donné envie dormir. On est arrivé devant une grande maison blanche perchée sur un éperon rocheux qui dominait le lot. Deux femmes. La première avait les cheveux gris et elle est venue me saluer. La plus jeune ne me quittait pas du regard. J'ai monté les escaliers avec les deux femmes. La plus vieille des deux femmes s'est presentée elle s'appelle Chiyo et c'est une infirmière. Chiyo nous a fait visiter la maison mais j'avais la tête ailleurs.

Chiyo : Et c'est là que tu vas dormir.

Il y avait deux côtés, et mon côté était vide. J'avais le même lit, le même bureau, tout effacé de personnalité. Il était temps de partir pour papa et tante Tsunade. Chiyo m'a expliqué que je ne pourrais pas les voir pour quelques jours, parce que j'avais besoin de temps pour m'habituer à mon nouvel environnement. Comme un animal de compagnie dans une nouvelle maison. J'ai pris tante Tsunade dans mes bras, prétendant ne pas voir qu'elle avait les larmes aux yeux. Une étreinte maladroite de papa. Il a murmuré qu'il restera en ville, et il viendra me visiter dès qu'ils lui en donnaient l'autorisation. Il m'a donné quelques billets d'argent pendant qu'il m'embrassait le front. Chiyo m'a dit que mes affaires sont désormais dans ma chambre vue que je suis probablement fatiguée. Je me suis jetée sur mon lit, et mes yeux se sont tout de suite fermés. La voix de mon père me réveillait. En regardant par la fenêtre j'ai réalisé qu'il était nuit. Mon père était dans le hall suivit par la plus jeune infirmière Mei, qui avait un visage désapprobateur. Mon père s'est approché et m'a donné quelque chose de mou dans mes bras.

Père de Sakura: On a oublié Ozzie. Je n'étais pas sûr que réussirais à dormir sans lui.

Le koala en peluche était resté sur l'étagère de ma chambre pendant deux ans, je l'ai banni de mon lit quand je m'étais dit que j'étais trop grande pour ce genre de choses. Mais, je l'ai pris et j'ai enfoui mon nez dans sa fausse fourrure miteuse qui sentait l'odeur de chez moi. Je me suis réveillée à la respiration saccadée de la fille dans le lit voisin. J'ai regardé, mais je n'ai vu qu'une forme sous la couette. Quand je me suis retournée sur mon dos, des chaudes larmes glissaient sur mes joues. Je n'ai pas le mal du pays. J'ai honte. Je suis embarrassée. Je suis humiliée. J'ai fais peur tante à Tsunade et papa. Ils devaient se demander ce qu'est-ce qui n'allait pas avec moi? Comment y remédier? Et les cours... Mes joues me brulaient encore plus que mes larmes. Combien de personnes m'ont entendu crier? Combien de personnes ont jeté un coup d'½il dans cette salle de classe alors que je luttais contre les enseignants? Combien de personnes m'ont vu me faire emmener attachée à une civière? Si des élèves ont raté le spectacle ils ont en surement entendu parler. Tout le monde doit savoir que j'ai perdu la tête, que je suis devenue folle. Même s'ils me laissaient reprendre les cours, je ne pense pas avoir le courage de revenir. Je me suis réveillée au son des ceintres en métal. Une fille blonde cherchait dans une armoire, et j'étais à peu près sure que c'était la mienne.

Sakura: Bonjour.
...: Tu as des trucs sympas, de bonne marque.
Sakura: Je suis Sakura.
...: Ino.

Elle a continué de parler, mais je n'écoutais pas, je ne pouvais penser qu'à une seule chose. Quel était son problème? Si elle était à la maison Lyle, quelque chose devait clocher avec elle. Une condition mentale. Elle n'avait pas l'air folle. Ses longs cheveux étaient attachés en une queue-de-cheval. Elle portait un Jean Guess et un t-shirt de Gap. Si je ne savais pas mieux j'aurais pensé que je me suis reveille dans un pensionnat. Elle continuait de parler. Peut-être que c'était un signe. Elle avait l'air inoffensive. Elle devait l'être non? Ils ne mettraient pas quelqu'un de dangereux ici. Ou alors vraiment fou. Oh non, Sakura, ils ne mettent pas quelqu'un de vraiment fou ici, juste les gens qui entendent des voix, voient des concierges brûlés et se battent avec des professeurs. Mon ventre commencait à me faire mal.

Ino: Viens. Le petit-déjeuner c'est dans cinq minutes, et ils seront en rogne si on est en retard.

Ino m'a arrêtée avant que je ne prenne quoi que ce soit de mon armoire.

Ino: Tu peux mettre ton pyjama pour le petit déjeuner. Les garcons mangent avec nous le déjeuner et le diner, mais ils prennent leur petit déjeuner après nous, pour qu'on puisse avoir un peu d'intimité.
Sakura: Garçons?
Ino: Naruto, Sasuke et Shikamaru.
Sakura: La maison est mixte?
Ino: Oui. On partage tous le dernier étage, mais celui du haut est divisé.

Elle est sortie de la chambre et m'a montré à quel point les couloirs sont petits.

Ino: Ils ont l'autre côté, on n'a pas une porte qui joint les deux cotes. Genre on irait se faufiler là-bas la nuit si on pouvait. *rire* mais bon, Hinata en serait capable. Et je pourrais aussi s'il y avait quelqu'un qui en valait la peine de l'autre côté. Hinata est folle de Naruto. Je pense que tu aimerais bien Shikamaru. Il est mignon mais trop jeune pour moi. Il a treize ans, bientôt quatorze je crois.
Sakura: J'ai quinze ans.
Ino: Oh mon Dieu. Um, sinon Shikamaru ne va pas rester ici bien longtemps. J'ai entendu qu'il rentre bientôt chez lui. Quinze ans? Quelle classe?
Sakura: Troisième.
Ino: Comme Hinata. Je suis en seconde comme Naruto, Sasuke et Tenten. Cependant je pense que Naruto et Tenten ont toujours quinze ans. Est-ce que je t'ai dit que j'adorais tes cheveux? Je voulais faire la même, mais avec des mèches bleues, mais ma mère m'a dit...

Ino a continué de me parler, encore et encore. Elle me parlait des gens présents dans la maison Lyle. Il y avait Kurenai la psychologue, mais elle venait juste les heures de travail comme Anko. J'ai rencontré trois infirmières, Chiyo, la plus vieille, Ino m'a dit qu'elle est très gentille, la plus jeune, Mei qui n'était pas vraiment la plus sympa d'après Ino. La troisième, Mme. Guren qui travaillait les weekends pour donné aux autres infirmières un jour libre. Elles vivaient pour prendre soin de nous. Elle ressemblait plus aux gouvernantes dont j'avais entendu les enfants du pensionnat parler, mais Ino les appelait les infirmières. Au bas de l'escalier la puanteur insupportable de nettoyant au citron m'a frappée. C'était la même odeur de la maison de Grand-mère. Papa n'était jamais confortable dans la maison de sa mère, sous son regard qui disait à ta place je n'expecterais pas de l'argent pour ton anniversaire si tu renverses ta boisson sur le canapé de cuir blanc. Un regard dans ce salon et je poussai un soupir de soulagement. C'était aussi propre que chez grand-mère mais ça avait l'air confortable. C'était peint en jaune clair. Les cousins cachaient le bleu marine du canapé et deux fauteuils. Une ancienne horloge était dans le coin. Sur la table il y avait un vase ou il y avait des marguerites. Lumieux et gai. Trop lumieux et gai, vraiment comme l'hôtel ou j'étais restée l'hiver dernier avec tante Tsunade. Ils essayent désespérément de vous faire sentir chez vous que ça ressemblait plus à une mise en scène. C'était surement pour nous faire oublier le fait que nous sommes dans une maison de fous. Ino m'a arrêtée devant la salle à manger pour qu'on y jette un coup d'oeil. D'un côté de la table il y avait une fille assez grande de taille avec des cheveux de couleur noire avec des reflets violets.

Ino: Ca c'est Hina. Hinata mais elle préfère Hina. C'est ma meilleure amie. Elle est d'humeur changeante et d'après ce que j'ai entendu c'est pour ça qu'elle est ici, mais je pense qu'elle va bien.

Elle a pointé une autre personne à table, une jolie fille assez maigre avec des cheveux bruns, attachés en deux chignons.

Ino: Ca c'est Tenten, elle a un faible pour le feu.

J'ai fixé la fille, un faible pour le feu? Est-ce que sa veut dire qu'elle déclenchait des feux? Je pensais que cet endroit devait être sans danger. Et les garçons? Est-ce-qu'ils étaient violents? J'ai frotté mon estomac.

...: Apparemment quelqu'un a faim.

Je me retourne pour voir Chiyo me souriant.

Chiyo: Rentre Sakura, laisse-moi-te presenter.

Avant le petit déjeuner, Mei nous a tous donner de pilules puis nous a fixé, c'était effrayant. Personne n'a dit un mot, chacun a avaler sa pilule avec de l'eau. Pas moi. Je fixais la pilule, Mei m'a dit que le docteur m'expliquerait tout après mais pour le moment je devais juste la prendre. Alors je l'ai fait. Après avoir manger, nous sommes tous montés en haut pour s'habiller convenablement. Tenten était devant suivie par Ino, Hinata et puis moi.

Hinata: Tenten?
Tenten: Oui Hinata?

Hinata a monté les derniers escaliers les séparant.

Hinata: Tu as fais la lessive, n'est-ce pas? C'est ton tour et je veux mettre le nouveau haut que ma mère m'a acheté.

Tenten s'est retournée lentement.

Tenten: Chiyo a dit que je pourrais faire la lessive aujourd'hui vu qu'on devait partir pendant que...

Son regard s'est posé sur moi et elle m'a lancer un petit sourire désolé.

Tenten: Sakura s'installait.
Hinata: Alors tu n'as pas fait la lessive.
Tenten: C'est ce que j'ai dit.
Hinata: Mais je veux...
Tenten: Ton haut, j'ai compris. Alors met le il est neuf.
Hinata: Ouais et d'autres personnes l'on essayé avant moi. C'est dégoutant.

Tenten a lever les mains au ciel et a disparu au bout du couloir. Hinata a tiré une mine renfrognée en me fixant, comme si c'était de ma faute. Quand elle s'est retournée, quelque chose a flashé entre nous, et je suis tombée un pas en arrière, en saisissant la rampe.

Hinata: Je ne vais pas te frapper, merde.

Dessus son épaule, une main apparut, se tortillant les doigts pâles comme des vers.

Ino: Sakura?

J'ai détourné les yeux de la main sans corps.

Sakura: J'ai trébuché.

Avant que je ne puisse faire quoi que ce soit une voix m'a soufflée dans l'oreille “écoute-moi fillette”. Ino a descendu les deux escaliers entre nous et a posé ses doigts sur mon bras.

Ino: Est-ce que ça va? Tu es toute blanche.
Sakura: J'ai juste cru entendre quelque chose.
Chiyo: Les filles? Vous savez que vous n'êtes pas supposées perdre votre temps dans les escaliers. Quelqu'un pourrait se blesser. Les classes commencent dans dix minutes, Sakura, on attend des notes de tes professeurs, alors tu n'auras pas classe aujourd'hui. Quand tu seras habillée, on discutera de ton programme.

La maison Lyle adorait les programmes, tout comme les camps d'entrainement aimaient la discipline. On se lève à 7: 30. Après avoir mangé, s'être doucher et habiller, on doit être en cours à 9: 00, où on fera des devoirs attribués par nos professeurs habituels, supervisés par Anko. Pause à 10: 30 pour un casse-croûte... nutritif bien sûr. Retour en classe. Pause à midi pour le déjeuner. Retour en classe à nouveau de 1: 00 jusqu'à 4: 30 avec une pause de vingt minutes à 2: 30. À un moment donné pendant les cours, nous aurions notre session de thérapie individuelle d'une heure avec Asuma, ma première session sera après le déjeuner d'aujourd'hui. De 4: 30 à 6: 00, nous avons du temps libre... À peut près. En addition des cours et les sessions de thérapie nous avions des tâches ménagères. Beaucoup de tâches ménagères d'après la liste. Elles devaient être faites pendant notre temps libre avant et après diner. En plus on avait aussi 30 minutes de sport, chaque jour. Puis après un casse-croûte, je devais être dans mon lit à 9: 00, extinction des feux à 10: 00. Casse-croutes nutritifs? Sessions de thérapie? Listes de tâches ménagères? Exercices obligatoires? Au lit à neuf heures? Être dans un camp d'entrainement commençait à être une idée superbe. Je n'avais pas ma place ici. Pas du tout. Après notre discussion, un appel téléphonique a envoyé Mme Chiyo se précipiter pour me prévenir que j'aurais bientôt ma liste de travail. Oh joie. Je me suis assise dans le salon essayant de réfléchir, mais la fausse bonne humeur m'en empêchait. Je n'arrivais pas à me concentrer. Quelques jours de peinture jaune et marguerites et je deviendrais un zombie heureux comme Ino. Je me suis sentie honteuse un moment. Ino m'a accueillie à bras ouverts, si être joyeux était une maladie mentale, ce n'était pas si mal comparé à celle que j'ai. Je me suis frotté le dos de mon cou et j'ai fermé les yeux. La maison Lyle n'était pas si mauvaise, vraiment. Mieux que les chambres et les couloirs interminables remplis de zombies réels, des malades mentaux, dopés jusqu'à qu'ils ne prenaient pas la peine de s'habiller, et encore moins se baigner. C'était peut-être l'illusion de la maison qui m'a dérangé. Et peut-être dans quelques jours, je serais plus heureuse avec des canapés moches, des murs anciens de couleur blanche et des barres sur les fenêtres, pour qu'il n'y ait pas de fausses promesses. Pourtant, juste parce que je ne pouvais pas voir les barres ce n'était aussi ouvert que ça en avait l'air. Je me dirigeai vers la fenêtre. Fermée en dépit de la journée ensoleillée. Il y avait un trou où il y avait sans doute un loquet pour l'ouvrir. J'ai regardé dehors. Beaucoup d'arbres, une rue calme, des maisons plus anciennes sur des grands terrains. Pas de clôtures électriques. Aucun signe sur la pelouse indiquant: maison Lyle pour les enfants fous. Tout cela est très ordinaire, mais je me doutais que si j'attrapais une chaise et fracassait la fenêtre une alarme serait enclenchée. Alors, où était l'alarme? Je jeta un regard à la porte principale et je l'ai vue. Clignotant. Ils n'essayaient pas de les cacher. Un rappel, surement. Ça avait beau avoir l'air d'une maison normale, mais n'essaye pas de sortir par la porte principale. Et l'arrière de la maison? Je suis partie dans la salle à manger regardant par la fenêtre, des arbres et un jardin. Un ballon de foot sur une chaise en bois et le panier de basket-ball sur une dalle de ciment suggérant qu'on avait le droit de sortir, sans doute pour les trente minutes de sport. Sont-elles supervisées? Je ne pouvais pas voir les caméras, mais il y avait assez de fenêtres pour que les infirmières gardent un oeil sur quelqu'un dans la cour. Et la clôture de six pieds de haut, était un bon moyen de dissuasion.

...: Tu cherches un moyen de sortie?

Je me suis retournée pour voir Mei. Ses yeux étaient amusés, mais son visage était neutre.

Sakura: Non. Je regardais juste. Oh et pendant que je m'habillais, j'ai remarqué que je n'avais plus mon pendentif. Je pense que je l'ai laissé dans l'hôpital, et je veux être sure de le récupérer. C'est un peu spécial.
Mei: Je le dirais à ton père, mais il devra te le garder pendant que tu es ici. Les bijoux sont interdits ici. Maintenant parlons de ton “je regardais juste”.

En d'autres mots, elle n'a pas cru à mon mensonge.

Mei: Je suis sure que tu as vu le système de sécurité à la porte principale.
Sakura: Je n'essayais pas de...
Mei: T'échapper. Je sais. La plupart de nos residents ne sont pas le genre d'adolescents qui s'enfuient de chez eux, si ce n'est pour faire une déclaration. Ils sont assez intelligents pour savoir que ce qui est en dehors de cette maison est pire encore. Et ce n'est pas si terrible ici, ce n'est pas Disney ni la prison. Les seules tentatives de fuites qu'on a déjà eues ici, c'était des adolescents essayant de sortir voir des amis. Jamais quelque chose de sérieux, mais les parents s'attendent à une meilleure sécurité, alors que nous sommes fiers de fournir un environnement confortable et je pense qu'il est important de souligner les limites tôt.

Elle me fixait, attendant une réponse. J'ai hoché la tête.

Mei: Les fenêtres sont armées d'une sirène, de même que les portes extérieures. Vous êtes autorisés à l'arrière seulement, et il n'y a pas de porte. En raison de l'alarme, vous devez nous informer avant de sortir, afin que nous puissions la désactiver, et, oui, vous regarder. Si tu as des questions sur ce que tu peux et ne peux pas faire, viens à moi. Je ne vais pas te rendre la réalité moins amère, Sakura. Je crois que l'honnêteté est la première étape pour établir la confiance, et la confiance est essentielle dans un endroit comme celui-ci.

Elle me fixa encore, s'assurant que j'ai compris l'autre côté de cette déclaration, que l'honnêteté marche dans les deux sens. J'ai hoché la tête à nouveau.
 
Season one: Chapter two.Season one: Chapter two.Season one: Chapter two.Season one: Chapter two.




25o commentaires pour le chapter number three.
(Sachant qu'il y en a deja 15o.)
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#Posté le vendredi 05 août 2011 20:00

Modifié le lundi 04 février 2013 12:00

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